Humour : que devient-on sans Facebook ?

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Journée sans Facebook : hier, 28 février était la journée mondiale consacrée à la « privation » de ce réseau social pour se défaire de la cyberdépendance (lire : Journée mondiale sans Facebook).

Et imaginons avec ce « témoignage » ce qui pourrait arriver à quelqu’un qui se passerait de la connectivité sur Facebook pour avoir des relations plus humaines au contact de vraies personnes :

Journée sans Facebook.  Comme je n’ai pas Facebook, j’essaie de me faire des amis en dehors du vrai Facebook mais en appliquant les mêmes principes :
Tous les jours je descend dans la rue et j’explique aux passants ce que j’ai mangé, comment je me sens, ce que j’ai fait la veille, ce que je suis en train de faire, ce que je vais faire demain. Je leur donne des photos de ma femme, du chien, de mes enfants, de moi en train de laver ma voiture, de ma femme en train de coudre, etc.
J’écoute aussi leurs conversations et je leur dis « j’aime ».
Et ça marche puisqu’il y a déjà 4 personnes qui me suivent: 2 policiers, 1 psychiatre et 1 psychologue.

 

 

Cyberdépendance et psychiatrie

 

 

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